PARUTION
Denitza Bantcheva, Visions d’elle, éd. DO, mars 2021
200 pages – ISBN : 979-10-95434-31-3
Le public de Ciné-Histoire connaît bien Denitza Bantcheva, pour ses remarquables interventions lors des séances du cinéclub le samedi.
Elle publie le 11 mars Visions d’elle, un livre sur sa mère.
Cet ouvrage rapproche l’histoire familiale de l’histoire tout court pour cette Bulgare arrivée en France à 20 ans sans connaître personne, et qui y a fait une carrière bien remplie. Elle est critique de cinéma avec une particulière affinité pour trois auteurs : Losey, Melville et René Clément sur lesquels elle a publié des livres, mais c’est aussi une romancière : La traversée des Alpes; A la rigueur ; Feu de sarments aux éditions du Revif.
Ce livre est publié aux éditions DO et disponible en librairie.
Très vite après la disparition brutale de sa mère, à Sofia, en Bulgarie, où elle était née et avait vécu, Denitza Bantcheva commence à retracer son parcours, persuadée que si sa fille unique n’écrivait rien sur Annie, « sa vie n’aurait en définitive aucun sens ». Elle en vient alors à confronter diverses visions d’elle — sous des angles qu’elle découvre parfois — qui composent le portrait d’un être rare, dont le destin témoigne cependant des épreuves les plus communes qu’on pouvait subir sous un régime totalitaire, comme au cours des années qui suivirent la chute du Mur de Berlin.
Une femme qui a réussi à dépasser ses origines sociales, a refusé toutes les compromissions et les fonctions prestigieuses, mais perçoit pourtant sa vie comme un échec. Une mère qui verra à travers la réussite de son unique enfant — ses études et l’enseignement universitaire, l’écriture, la capacité à décider très tôt de quitter la Bulgarie communiste pour partir vivre en France — tout ce qu’elle a eu le sentiment de ne pas parvenir à réaliser. Une fille qui tente d’appréhender l’essence et les parts d’ombre de la vie d’une mère dont elle fut la plus intime confidente.
Tout cela fait de Visions d’elle un livre très singulier, dans lequel histoire familiale, histoire tout court et réflexion sur le sens d’une existence s’entrelacent pour former un émouvant récit issu du deuil et de l’amour filial.
Un grand ami nous a quittés !
Maurice Cling, arrêté en classe à l’école Lavoisier le jour anniversaire de ses quinze ans, a été déporté avec ses parents et son frère (son père était combattant volontaire de la guerre de 14-18 et décoré). Il revient seul, et entreprend des études de langues. Universitaire, il enseigne l’anglais et devient spécialiste de linguistique.
Maurice Cling n’a cessé toute sa vie de militer et de témoigner. Militant communiste, il a été président de la FNDIRP et membre de la Fondation pour la Mémoire de la déportation.
Nous ne l’oublierons pas
PARUTIONS
Retracer le parcours d’un résistant ou d’un Français libre par Fabrice Bourrée aux éditions Archives et Culture
Les éditions Archives & Culture font paraître un guide destiné à orienter toute personne désireuse de « retracer le parcours d’un résistant ou d’un Français libre ».
Cet ouvrage de près de 120 pages a été réalisé par Fabrice Bourrée, chef du département AERI de la Fondation de la Résistance, avec la participation de Frédéric Queguineur, responsable des fonds du bureau Résistance au Service historique de la Défense de 2013 à 2018. La préface est signée de Fabrice Grenard, directeur historique de la Fondation de la Résistance.
Ce guide qui bénéficie du parrainage de la Fondation de la Résistance et du Service historique de la Défense, est disponible en librairie.
En septembre, les éditions du Félin ont publié deux ouvrages sur la Résistance.
Le témoignage de Madeleine Gex-Le Verrier, Une Française dans la tourmente : publié à Londres en décembre 1942 et jamais réédité depuis 1945, Madeleine Gex-Le Verrier retrace en détail son propre parcours depuis les jours dramatiques de juin 1940 jusqu’à son arrivée en Angleterre et son engagement dans la France Libre. Ce récit décrypte les évolutions de l’opinion publique, évoque les premières manifestations de la Résistance et décrit l’atmosphère régnant à Vichy.
Conçu et rédigé dans le feu de l’action, cet ouvrage figure au rang des tout premiers témoignages à paraître sur l’effondrement de la France et ses conséquences immédiates.
La collection « Résistance poche » s’agrandit encore en proposant ce mois-ci de remettre dans la lumière le parcours d’un couple hors du commun, Jacques & Lotka de Prévaux, lui officier de Marine, elle mannequin polonaise, mariés envers et contre tous et unis jusqu’à la fin dans la résistance au nazisme.
Il aura fallu 30 ans à Aude Yung pour écrire ce livre, depuis le jour où elle a appris, par hasard, qu’elle avait été adoptée et que ses vrais parents étaient des héros de la Résistance, à celui où elle se voit remettre une caisse de lettres, photos, documents et journaux intimes. Arrêtés, torturés pendant des semaines, ils ne diront rien et seront fusillés le 19 août 1944, Aude avait 2 mois.
Une grande dame nous a quittés
Liliane Klein–Lieber : une vie au service des autres
Liliane Klein Lieber, née à Strasbourg en 1924 adhère dès 1931 aux Eclaireurs Israelites de France (EIF), mouvement qui deviendra pour elle sa deuxième famille ! Elle y reçoit le totem de « Luciole obligeante ». La guerre chasse la famille vers Grenoble. Assistante sociale, Liliane est contactée par Robert Gamzon, fondateur et commissaire national des EIF pour entrer dans « la sixième » qui est le réseau clandestin du mouvement, chargé de cacher les adolescents en danger. Au sein de la sixième ,elle fait passer des jeunes en Suisse, grâce au réseau de son ami Georges Loinger, et cache d’autres enfants à Moissac. Toute sa vie, Liliane a gardé le contact affectueux dans le monde, avec les survivants qu’elle a sauvés.
Après guerre, en 1960, elle participe à la fondation de la « Coopération féminine » mouvement de femmes bénévoles, dont elle prendra la présidence jusqu’en 2003. C’est au sein de la Coopération qu’elle crée en 1991 le CAT (centre d’aide par le travail pour de jeunes handicapés ) dont elle s’est occupée jusqu’à ses derniers jours !
En parallèle des années 60 elle est membre du centre national du volontariat.
Cette femme discrète et chaleureuse était une grande amie de Ciné Histoire et nous sommes très tristes de son départ !
Mais la lumière de Luciole, qui a éclairé tant de vies ne s’éteindra pas pour nous et nous nous associons à la grande peine de ses enfants à qui nous adressons nos condoléances.
Une grande dame nous a quittés
Anise Postel-Vinay, issue d’une famille catholique, a été très tôt engagée dans la Résistance. A 19 ans, elle intègre le réseau Gloria SMH, His Majesty’s Service. Arrêtée le 15 août 1942, à l’âge de 20 ans, elle est déportée à Ravensbrück en octobre 1943 avec Germaine Tillion, dont elle partagera le châlit. Elle formera un trio inséparable jusqu’à la fin de leur vie avec Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle. C’est ce que relate le film « Sisters in Résistance » de Maia WECHSLER, que Ciné-Histoire a projeté par deux fois.
Au camp, les dimanches, c’est Anise Postel-Vinay qui servait d’interprète entre Germaine Tillion et Margaret Buber-Neumann pour le témoignage de cette dernière sur son incarcération dans les camps soviétiques.
Libérée en août 1945 par la Croix Rouge suédoise, elle retrouve son frère (déporté à Buchenwald) et son père (à Dachau), mais sa sœur a disparu.
Elle disait : « On peut croire qu’en vieillissant on oublie, que ça s’estompe, mais c’est le contraire ».
Elle a écrit en collaboration avec Laure Adler Vivre (Grasset 2015).
Ciné-Histoire présente à sa fille Claire Andrieu et à sa famille ses sincères condoléances.
Vient de paraître
Pascal Convert, Daniel Cordier, son secrétariat, ses radios
Cet essai critique sur les mémoires de Daniel Cordier Alias Caracalla (2009) questionne à partir de nombreuses sources inédites son témoignage sur ce qu’il nomme « son secrétariat et ses radios », deux services centraux crées par Jean Moulin à partir de janvier 1942.
Arrestation de Felicien Kabuga
Après 25 ans de cavale, fin de parcours pour Félicien Kabuga, « financier » du génocide rwandais, en 1994. Arrèté le 16 mai à Asnières, il est l’un des derniers grands responsables encore en fuite, du génocide des Tutsis. Il a financé et armé les milices Hutu Interahamwe, principales exécutantes du massacre d’au moins 800.000 Tutsis entre le 7 avril et le 27 juillet 1994. Il est l’un des principaux actionnaires de la radio des Mille collines qui encourageait aux tueries et diffusait les noms des gens à exécuter.
Ciné Histoire avait projeté en en 2010 le film de Jean Christophe Klotz « Kigali images contre un massacre ». Jean Christophe Klotz à réalisé en 2019 un autre film « retour à Kigali » que nous espérons vous montrer !
Vient de paraître
Claire Heyman, assistante sociale à l’Hôpital Rothschild, résistante
Claude ALBERMAN, Dominique DUFOURMANTELLE, Annie LYON-CAEN, Serge KLARSFELD, Une Juste juive à l’Hôpital Rothschild, édition Association Fils et Filles des Déportés Juifs de France, 2020
- Sous l’Occupation, un réseau de résistance clandestin s’organise au sein de L’Hôpital Rothschild, relayé à l’extérieur par diverses organisations juives et non juives comme l’Union Générale des Israélites de France (UGIF), la Women’s International Zionist Organisation (WIZO), l’Oeuvre de Secours aux Enfants (OSE), les Éclaireurs Israélites de France (EIF), la Sixième, la Cimade, les Quakers, la Croix Rouge, notamment Annette Monod, assistante sociale…
L’Hôpital Rothschild devient un centre de détention, entouré de fils barbelés, annexe du Camp de Drancy.
Claire Heyman, assistante sociale à l’Hôpital depuis 1934 et appartenant à un réseau de résistance, s’entoure de membres du personnel médical et social en qui elle a toute confiance. De nombreux enfants ont été sauvés par des soignants de l’hôpital Rothschild. Maria Errazuriz l’assiste bénévolement au sein de l’Hôpital, Colette Brull-Ulmann jeune interne s’engage à ses côtés.
Ces femmes, Tante Maria et Tante Claire vont braver tous les dangers pour garder les malades à l’hôpital, ce dont témoignent survivants et documents d’archives publiques et privées. Sans relâche, Claire Heyman oeuvre au sauvetage des enfants hospitalisés à Rothschild.
Claire Heyman
Les enfants guéris risquent la déportation. Médecins et chirurgiens font tout leur possible pour prolonger leur hospitalisation.
Maria fournit les fonds. Des prêtres, tels l’abbé Ménardais et l’abbé Janau, trouvent des refuges pour les enfants, fournissent de faux certificats de baptême…
Frédéric Joliot-Curie et Jacques Dennery, cousin de Claire, fabriquent de faux papiers…
Qui était Claire Heyman ? Celles et ceux qui l’ont côtoyée dressent le portait de cette femme d’exception.
Grâce à l’Association Fils et Filles des Déportés Juifs de France et à Serge Klarsfeld, le livre sur Claire Heyman et l’Hôpital Rothschild vient de paraître.
Vous pouvez vous le procurer en adressant votre demande à l’Association FFDJF,
32 rue de la Boétie, Paris 75008.
Cécile Rol-Tanguy nous a quittés
Avec elle, c’est une des dernières figures de la Résistance intérieure française qui disparait.
L’engagement de Cécile Rol-Tanguy, née Le Bihan, date de 1936, du Front populaire et de la guerre d’Espagne. C’est au syndicat des métaux CGT de Paris, où elle est employée qu’elle rencontre Henri Tanguy, dirigeant des métallos parisiens, combattant volontaire dans les brigades internationales. Ils se marient en 1939, juste avant la guerre.
Titulaire de la médaille de la Résistance française, Cécile Rol-Tanguy est restée très attachée à la mémoire de la libération de Paris et a œuvré pour que la Ville inscrive dans son patrimoine le PC du colonel Rol. Le musée de la Libération de Paris-musée du général Leclerc-musée Jean Moulin doit à sa ténacité son déménagement et son inauguration le 25 août 2019 place du colonel Henri-Rol-Tanguy.Le Musée de la Résistance en ligne vous propose un extrait d’un entretien dans lequel Cécile Rol-Tanguy évoque le rôle de son époux.
A ne pas manquer
Valérie Portheret, Vous n’aurez pas les enfants, préfacé par Serge Klarsfeld et Boris Cyrulnik. (2020 XO éditions).
Enquête sur la rafle du 26 août 1942 à Vénissieux dans la banlieue lyonnaise. Lors de cette rafle, 108 enfants sont sauvés par l‘Amitié chrétienne de l’abbé Glasberg et cachés dans un couvent. Le rôle de l’abbé Glasberg, personnage plusieurs fois honoré par Ciné Histoire, y est bien relaté.
C’est l’histoire inédite du plus grand sauvetage d’enfants juifs en France pendant la Seconde Guerre mondiale.
L’historienne Valérie Portheret a passé plus de vingt ans à recueillir la parole de nombre de ces enfants dans le monde entier, et elle a ainsi retrouvé des archives totalement ignorées.
Vient de paraître
Mauthausen de Iakovos Kambanellis, dramaturge grec, rescapé des camps, qui a témoigné en 1963 dans un récit traduit du grec pour la première fois en France. La question de la transposition de l’expérience concentrationnaire y est sans cesse interrogée. (Albin Michel 22, 90 euros)
A ne pas manquer
La pièce « fleurs de soleil » d’après le livre de Simon Wiesenthal . Joué par Thierry Lhermitte au théatre Antoine . « S. Wiesenthal a cherché toute sa vie ce qui lui est arrivé en ce matin ensoleillé de 1942. Peut-on pardonner l’impardonnable? »
L’association Germaine Tillion vous invite au spectacle :
« L’Europe a commencé à Ravensbrück »
D’après L’enfant de la Rue et la Dame du siècle de Michel Reynaud. Par la comédienne Roselyne Sarazin.
Le spectacle sera suivi d’échanges avec le public.
Lundi 24 février 2020, 17h30-20h30
Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris
Inscription obligatoire à partir du 15 janvier 2020:
Par e-mail :
evenementgermainetillion@
Ou par courrier postal à :
Association Germaine Tillion,
8 passage Montbrun,
75014 Paris
Le nombre de places étant limité à 190, les inscriptions seront prises en compte dans l’ordre d’arrivée.
PARUTIONS
Ciné-Histoire soutient…
L’aube à Birkenau de David Teboul et Simone Veil.
David Teboul avait consacré en 1990 un documentaire à Simone Veil qui a été le point de départ d’une amitié qui a duré jusqu’à sa mort. C’est à David Teboul que le enfants de Simone ont confié la cérémonie du Panthéon. Ce livre, à la mise en page très élaborée et originale, donne à lire la voix de Simone Veil, avec des photos très émouvantes.
Emmanuel Debono, Le racisme dans le prétoire.
En ligne sur Puf.com ,ou en librairie Emmanuel Debono, docteur en histoire, dont les recherches portent sur les racismes et les antiracismes, étudie l’évolution de la loi Marchandeau (1939) jusqu’à nos jours.
Pour les cinéphiles Instants critiques d’Alain Riou (chez Hémisphères). Notre ami Alain Riou, longtemps critique au Nouvel Obs ,et polémiste au Masque et la plume, a souvent animé les séances de notre Ciné Club à La Pagode! Il raconte ici les rapports entre les critiques et les réalisateurs de films.
11 décembre 2020
COLLOQUE : « RÉPRESSION APRÈS LE DÉBARQUEMENT DU 6 JUIN 1944 »
l’Association Nationale des Fusillés et massacrés
l’association pour le souvenir des fusillés Mont Valérien,
l’Amicale de Châteaubriant
Union des juifs pour la résistance et l’entraide
en partenariat avec la Ville de Paris
le Musée de la Résistance Nationale
le Dictionnaire des fusillés et massacrés Maitron
le Comité Parisien de Libération
l’IHS CGT
Lieu : Auditorium de la Ville de Paris 5 rue Lobau (M° Hôtel de Ville),
Date : vendredi 13 décembre 2019, de 9h à 17h
Inscription gratuite et carte d’identité obligatoires
Après une présentation générale de la France en juin 1944, le colloque traitera des grèves insurrectionnelles dans la région parisienne, du massacre d’Oradour, des déportations après le débarquement. Ensuite les interventions portent sur la répression dans les régions : Zones de combats, Bretagne, Sud Ouest, Centre ouest.
PROGRAMME
La France après le débarquement, état des lieux
Claude PENNETIER chercheur au Cnrs, Centre d’Histoire sociale du 20è siècle, directeur du dictionnaire Maitron
Grèves insurrectionnelles dans la région parisienne
Jérome BEAUVISAGE Historien,syndicaliste, collaborateur de l’Institut d’Histoire Sociale CGT
Oradour-sur-Glane, un massacre impensable ?
Dominique TANTIN, historien, agrégé et docteur en Histoire, Président de l’association Maitron des fusillés
Les déportations après le Débarquement
Claudine CARDON-HAMET agrégée et docteure en Histoire
LA REPRESSION DANS LES REGIONS
Dans la zone des combats
Jean QUELLIEN agrégé et docteur en Histoire, professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université de Caen, ancien directeur de l’UFR d’Histoire à l’Université de Caen 3.
Présentation par Annie PENNETIER
En Bretagne. Exemple du Morbihan
Jean Pierre et Jocelyne HUSSON , professeurs agrégés d’histoire, auteurs régionaux du dictionnaire des fusillés
Dans le Sud-Ouest : Repression de « Das Reich » en Ariège et Haute Garonne
André BALENT professeur d’histoire, auteur régional du dictionnaire des fusillés
Dans le Centre Ouest : Creuse, Vienne, Haute Vienne
Michel THEBAULT, agrégé d’histoire, auteur régional du dictionnaire des fusillés
Renseignements et inscriptions gratuite pour le colloque
Jean Darracq tel : 06 10 98 84 15
Mail : sylvie-jean.darracq@wanado.fr
ou ANFFRMA : 9 rue Amédée Picard 94230 CACHAN
Films rares en DVD
Collector Cannes 1939
L’association des cinéphiles de Cannes Ciné Croisette met à disposition des cinéphiles des films rares sous forme de DVD.
Une première sélection concerne les films du Festival de Cannes 1939, le festival qui n’a pas eu lieu.
Ce choix sera complété par d’autres films rares au fil de nos recherches. Tous ces films sont en VO et sous-titrés en français
Vous pouvez commander ces films sur notre boutique :
https://www.cinecroisette.com/boutique-dvd/
En 1 ou plusieurs exemplaires vous pouvez les payer par carte bancaire ou paypal .
Ils vous seront ensuite envoyés par la poste.
Les frais de port sont de 2€ par titre.
N’oubliez pas de bien nous spécifiez votre adresse d’expédition !
contact : cinecroisette@gmail.com
Corpus documentaire CNRD sur le Musée de la Résistance en ligne
« 1940. Entrer en Résistance. Comprendre, refuser, résister »
Cette exposition virtuelle, comprenant plus de 260 médias, présente des documents inédits sur l’engagement et les actions des pionniers et complète ainsi la brochure pédagogique nationale coordonnée par la Fondation de la Résistance.
=> Voir l’exposition virtuelle
CONVENTION ENTRE LA VILLE DE PARIS ET CINÉ HISTOIRE
Après 15 années d’un soutien sans faille, la Mairie de Paris officialise son lien avec Ciné Histoire par une convention pluriannuelle considérant que les projets de l’association participent de sa politique en faveur d’une meilleure connaissance et de la transmission de la Mémoire.
Anne Brossolette nous a quittés !
Anne Brossolette, cofondatrice de Ciné Histoire, était la fille de Pierre Brossolette, héros de la résistance et grande voix de la France Libre (arrêté, il s’était défenestré pour ne pas parler sous la torture).
Anne n’était alors âgée que de 17 ans.
Elle avait intégré la Fondation de la Résistance en 1993 avec les enfants de Compagnons de la Libération.
Elle est une des premières adhérentes de Mémoire et Espoirs de la Résistance en compagnie de Nicole Dorra.
Elles quittent toutes les deux la Fondation de la Résistance en 2003 pour fonder Ciné Histoire.
Anne Brossolette aura grandement contribué aux succès de Ciné Histoire !
Nous ne l’oublierons pas.